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Le Prix d’Amérique Legend Race, première Finale de la compétition Prix d’Amérique Races ZEturf, a vu la victoire de Hooker Berry, dimanche 29 janvier à l’Hippodrome Paris-Vincennes. Le vainqueur de l’édition 2023 du championnat du monde de Sulky présente un profil atypique sur bien des aspects. La preuve avec ce portrait.

Hooker Berry est né il y a six ans dans un département, l’Indre, qui compte peu de naissances de trotteurs par an. Ce n’est pas vraiment ce qu’on appelle une « grande région d’élevage ». Pourtant Michel Aladenise, son éleveur-propriétaire, réussit à faire naître des chevaux de premiers plans comme l’ont prouvé avant lui des chevaux comme Quokine Berry (lauréate de Groupe I au monté), Paolo Berry (vainqueur de Groupe II) ou encore la populaire Eliska Berry (306 765 €) qui n’est autre que la soeur de Hooker Berry. Le savoir-faire maison n’est donc plus à prouver et cette consécration ultime, jamais espérée tellement elle paraissait inaccessible par Michel Aladenise, est pourtant bien arrivée.

De Gros-bois à… Grosbois !

Partant de la ferme de Gros-bois, Hooker Berry a ensuite été majoritairement préparé à Grosbois, le centre d’entraînement parisien où Jean-Michel Bazire a une antenne. C’est ici aussi qu’il s’est qualifié au mois d’août de ses deux ans, avec son entraîneur au sulky. Précoce et véloce, il court et gagne dès l’été, avec Romain Congard, à Vichy puis très vite, avec Jean-Michel Bazire, à Vincennes. Un hippodrome qu’il connait comme son box : sur ses 51 courses disputées, 40 ont eu pour théâtre le célèbre anneau parisien !

Et parmi elles, 37 ont été du niveau Groupe. Pourtant, Hooker Berry est devenu ce dimanche vainqueur de Groupe I sans jamais avoir remporté de course de ce niveau auparavant, ce qui fait de lui aussi un autre cas à part. Ce n’est pas faute d’avoir essayé ni d’avoir souvent performé à ce niveau mais Hooker Berry n’avait jusqu’ici jamais gagné Groupe I. Son premier succès aura eu lieu dans le plus grand de tous. Cette victoire lui permet de devenir le plus riche des trotteurs nés en 2017 et surtout le faire changer de dimension pour l’avenir. L’ère d’un nouveau Hooker Berry s’ouvre-t-elle ?

hooker berry

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Le Prix d’Amérique Legend Race, première Finale de la compétition Prix d’Amérique Races ZEturf, était le sommet de l’année, dimanche 29 janvier à l’Hippodrome Paris-Vincennes. Hooker Berry, entraîné et drivé par Jean-Michel Bazire, s’est adjugé le titre de champion du monde de Sulky.

Ferveur, show époustouflant, rebondissements et excellence sportive ont fait de l’édition 2023 du Prix d’Amérique Legend Race un moment exceptionnel. 16 superbes champions ont offert à la foule en liesse un affrontement dantesque. Le départ fut fatal à Decoloration, et quelques centaines de mètres plus loin, le Groupe I perdait l’un de ses deux principaux favoris. Coup de théâtre et énorme désillusion pour ses nombreux supporters : Idao de Tillard se mettait au galop et était éliminé. Pendant ce temps, le suédois Don Fanucci Zet s’installait au commandement, accompagné par Horsy Dream, l’autre préféré du public. Les deux leaders allaient toutefois céder dans l’ultime ligne droite d’arrivée.

Jean-Michel Bazire, patient derrière les animateurs, lançait son partenaire Hooker Berry et filait au poteau, la jambe levée comme geste de joie. Une victoire facile et pleine de panache, après un parcours de rêve. L’homme aux 20 Sulkys d’Or remportait un cinquième succès en tant que driver dans le Prix d’Amérique Legend Race, le troisième en tant qu’entraîneur. Un an après Davidson du Pont et le fils Nicolas, la famille Bazire conserve le plus beau trophée du Trot chez elle.

Jean-Michel Bazire a fait le show

Ampia Mede SM, malchanceuse pendant la course, a terminé fort au deuxième rang, devant le cadet Italiano VeroHip Hop Haufor et Hohneck. Aux anges après sa démonstration, Jean-Michel Bazire s’est exprimé au micro d’Equidia : « Mon cheval était au top. J’ai essayé de lui donner le meilleur parcours possible en le plaçant derrière des adversaires. Dès que je suis sorti de leur dos, j’ai su que j’avais gagné. C’est un immense plaisir, associé à un magnifique trotteur ».
Michel Aladenise, propriétaire et éleveur de Hooker Berry : « Je n’avais jamais cru à une victoire dans le Prix d’Amérique et pourtant c’est fait ! Je ne réalise pas. Je ne réalisais déjà pas que je participais à l’épreuve, alors… C’est formidable. Je remercie tous les supporters du cheval ».
Les champions de la planète Trot donnent maintenant rendez-vous à leurs aficionados dimanche 12 février toujours à Paris-Vincennes. Ce sera l’heure du Prix de France Speed Race, deuxième Finale de la compétition Prix d’Amérique Races ZEturf et revanche du Prix d’Amérique Legend Race. Les cracks iront à toute vitesse sur les 2 100 mètres de la grande piste.

Revoir la course du Prix d’Amérique ZEturf Legend Race 2023

vivid wise as

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Face à une redoutable coalition tricolore, six champions entraînés hors de France ont fait le voyage pour participer dimanche 29 janvier à Paris-Vincennes, au Prix d’Amérique Legend Race, première Finale de la compétition Prix d’Amérique Races ZEturf. Qui sont ces visiteurs ambitieux ?

L’incontournable et performant Alessandro Gocciadoro présentent deux atouts nommés Vivid Wise As (notre photo) et Vernissage Grif qui défendront donc les couleurs de l’Italie. Le premier cité est bien connu chez nous pour avoir notamment remporté le Prix de France Speed Race, deuxième Finale des Prix d’Amérique Races ZEturf, le 13 février 2022. Il compte au total six victoires dans des Groupes I en France. Vernissage Grif est beaucoup moins expérimenté à Paris-Vincennes avec seulement deux tentatives. Son palmarès international mérite toutefois le respect.

Daniel Reden revient dans la course

Entraîneur haut en couleurs et prolifique sur les réseaux sociaux, le Suédois Daniel Reden délègue Honey Mearas et Don Fanucci Zet. Ils se sont produits une seule fois chacun dans le Temple du Trot avec le même résultat : septième. Ils se sont cependant illustrés dans les plus belles épreuves scandinaves. Notons que Honey Mearas est une fille de Readly Express, lauréat du Prix d’Amérique Legend Race en 2018.

La Norvège et à nouveau l’Italie seront aussi en lice via Moni Viking, entraîné habituellement par Jan Lyng mais stationné actuellement en France chez Björn Goop, et Cokstile, préparé par le Transalpin Gennaro Casillo. Moni Viking, fils du champion Maharajah, lauréat du Prix d’Amérique Legend Race en 2014, a brillé dans plusieurs épreuves de la compétition Prix d’Amérique Races ZEturf. Il avait notamment obtenu une magnifique troisième place dans le Prix de Paris Marathon Race, le 28 février 2021. Cokstile a vécu son heure de gloire le 2 janvier 2022, lors de sa victoire dans le Prix d’Amérique Races ZEturf Qualif #5 – Prix de Bourgogne.

eric raffin

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Tous les professionnels, jockeys, drivers, entraîneurs, éleveurs, propriétaires, rêvent de remporter le Prix d’Amérique Legend Race, la plus belle course au Sulky du monde. Et quand on a gagné de nombreux trophées à travers l’Europe mais jamais la première Finale de la compétition Prix d’Amérique Races ZEturf, le rêve est encore plus intense. Eric Raffin, le meilleur driver français à l’heure actuelle, fait partie de ceux qui ont l’Amérique en ligne de mire. Dimanche 29 janvier à Paris-Vincennes, le Vendéen pilotera Horsy Dream, l’un des favoris.

Il touchait presque le graal fin 2021 quand il pilotait Face Time Bourbon. Quelques mois avant l’édition 2022, le protégé de Sébastien Guarato s’annonçait redoutable et cherchait à conquérir une troisième couronne d’affilée. Eric Raffin était devenu son driver attitré quelques mois auparavant. Catastrophe ! Des ennuis de santé obligent le crack de la Scuderia Bivans à arrêter sa carrière prématurément. Il ne participera pas au Prix d’Amérique Legend Race 2022. Son nouveau pilote regardera la course dans les tribunes.

Des ambitions avec Horsy Dream

Le destin sourit à nouveau à Eric Raffin dans sa quête d’Amérique le 20 novembre 2022. Il se met alors au sulky de Horsy Dream pour la première fois. Verdict : une victoire facile. Suivront trois autres succès dont deux dans des épreuves qualificatives aux Finales des Prix d’Amérique Races ZEturf. Le tandem demeure invaincu à ce jour, en quatre associations. Le pensionnaire de Pierre Belloche fait logiquement partie des chevaux les plus en vue dans le Prix d’Amérique Legend Race 2023.

Eric Raffin totalise quatre titres de Sulky d’Or, autrement dit trophée du meilleur driver de l’année, acquis en 2019, 2020, 2021 et 2022. L’an passé, il s’est imposé à 258 reprises. Le Vendéen de 41 ans accumule les victoires de Groupe I, aussi bien en France, qu’en Belgique, Suède, Italie et Finlande. Il brille autant au plus haut niveau au Sulky qu’à l’Etrier. Il ne lui manque que le Prix d’Amérique Legend Race pour parfaire un magnifique palmarès.

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Le Prix d’Amérique Legend Race, première Finale de la compétition Prix d’Amérique Races ZEturf, va donner lieu à un affrontement époustouflant, dimanche 29 janvier à l’Hippodrome Paris-Vincennes. Avez-vous pensé à vos trois favoris ? Si oui, mesurez votre sagacité sur le jeu Prix d’Amérique Races ZEturf Fantasy. De nombreux cadeaux sont à gagner !

A course exceptionnelle, lots exceptionnels ! Pour le Prix d’Amérique Legend Race, Prix d’Amérique Races ZEturf Fantasy offre au total 1000 euros de bonus valables chez ZEturf, partenaire de l’aventure. Au total, les 60 premiers du classement seront récompensés, avec 100 euros pour le vainqueur. La session vous attend dès maintenant et restera ouverte jusqu’à quelques minutes avant le départ, dimanche. Rappel des principes : choisissez trois chevaux sur la course et marquez des points en fonction des allocations remportées par vos concurrents. Attention, vous devez respecter le budget de départ pour acquérir vos trotteurs. Un système de cartes à activer permet par ailleurs de marquer des points supplémentaires.

Idao de Tillard et Horsy Dream les plus chers

Les favoris ont logiquement un prix élevés dans le jeu et sont donc plus difficiles à acheter. Idao de Tillard a la valeur la plus forte, 9 étoiles, suivi par Horsy Dream (9 étoiles). Don Fanucci Zet arrive troisième (8 étoiles). Utilisez astucieusement votre budget pour sélectionner vos chevaux et enclencher en même temps les précieuses cartes. Vous pouvez par ailleurs vous défier entre amis grâce aux ligues privées. Prix d’Amérique Races ZEturf Fantasy est un jeu 100 % gratuit accessible sur le site fantasy.prixdameriqueraces.com ou sur l’appli disponible via App Store et Google Play.

prix d'amérique legend race

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Le moment tant attendu arrive enfin ! Le Prix d’Amérique Legend Race, première Finale de la compétition Prix d’Amérique Races ZEturf, attend tous les passionnés de beau sport, dimanche 29 janvier à Paris-Vincennes. La planète Trot va désigner son nouveau champion du monde de Sulky.

Le Prix d’Amérique Legend Race est la course qui fait rêver. Elle fait rêver le public grâce à ses épisodes d’anthologie offerts chaque année, mais surtout les drivers, entraîneurs, éleveurs et propriétaires de trotteurs qui rêvent tous de la gagner. L’édition 2023 va encore soulever la foule et proposer un affrontement exceptionnel. Suspense, qualité des protagonistes, excellence, incertitudes et émotions vont enthousiasmer le Temple du Trot. 18 champions s’aligneront au départ pour une bataille de 2 700 mètres. Les 12 trotteurs qualifiés après les six premières épreuves de la compétition Prix d’Amérique Races ZEturf seront évidemment de la partie. Ils se nomment Hip Hop Haufor, Italiano Vero, Ampia Mede SM, Hooker Berry, Hussard du Landret, Etonnant, Idao de Tillard, Horsy Dream, Delia du Pommereux, Flamme du Goutier, Decoloration et Hohneck. Les 6 plus riches parmi les engagés complètent un peloton cinq étoiles.

Deux jeunes ont la faveur des pronostics

Les pronostics donnent un léger avantage à Idao de Tillard, jeune prodige ambitieux, lauréat du Prix d’Amérique Races ZEturf Qualif #3 – Critérium Continental. Horsy Dream, qui reste sur quatre victoires d’affilée, dont la plus récente dans la Qualif #6 – Prix de Belgique, est désigné comme son plus dangereux rival. Le vainqueur de l’Elitloppet 2021, l’équivalent suédois du Prix d’Amérique Legend Race, sera également en lice. Il s’agit de Don Fanucci Zet, un suédois qui tente le pari de l’Amérique, malgré une absence de trois mois et demi. Outre Don Fanucci Zet, Honey Mearas, sa compagne d’entraînement, Moni Viking, Vernissage Grif, Cokstile et Vivid Wise As assureront le côté international de ce Groupe I convoité. Qui sera le nouveau champion du monde de Sulky ? Réponse dimanche vers 16h25.

Voir les partants du Prix d’Amérique Legend Race

NICOLAS BAZIRE

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Nicolas Bazire se prête au jeu de « La P’tite Interview ». Le driver de 22 ans habite à Solesmes, dans le département de la Sarthe. Tenant du titre du Prix d’Amérique ZETurf Legend Race avec Davidson du Pont, il revient pour nous sur sa carrière.

Pourquoi es-tu devenu driver ?
Mon père est Jean-Michel Bazire, entraîneur et driver. Dès qu’il n’y avait pas école, j’allais trotter avec mon père. J’ai toujours aimé cela, contrairement à l’école (rires). J’ai été formé à l’école de Graignes. J’ai travaillé pour Thierry Raffegeau, avant de rejoindre Laurent-Claude Abrivard à deux reprises.

 

Ta première victoire en France ?
Le 30 avril 2017 avec Envol The Best sur l’hippodrome de Neuillé-Pont-Pierre. Il débutait en compétition. J’avais demandé à mon père si je pouvais le driver car je l’aimais bien. Je me souviens avoir été aux courses avec Romain Congard. C’était ma première course en plus donc j’avais un peu la pression. Ensuite cela s’est bien passé et il l’a bien fait.

 

Ta première victoire à Paris-Vincennes ?
Carabin d’Urzy le 26 août 2017, c’était une course de fou ! (rires) Il y a eu un gros coup de frein en montant, les chevaux de la corde ont failli tomber. Ensuite j’ai dû sortir en quatrième épaisseur dans le tournant. J’ai gagné de pas grand-chose mais j’ai réussi. J’étais super content car il y avait mes grands-parents et toute ma famille. Ma deuxième victoire à Vincennes c’était Décoloration, j’avais gagné facile mais c’est logique vu la jument (rires).

 

Ton premier souvenir de Paris-Vincennes ?
Comme avait pu le dire Clément Duvaldestin, nous faisions des courses tous ensemble quand on était petits. Parfois, on faisait n’importe quoi, heureusement que cela ne s’est pas vu ! (rires) Maintenant, il y a une vraie amitié très forte.

 

Ton hippodrome préféré ?
Je dirais Vincennes car j’y suis allé énormément quand j’étais plus jeune. Sinon, il y a les hippodromes à côté de la maison comme Sablé-sur-Sarthe ou Ecommoy.

 

La casaque la plus belle esthétiquement ?
Celle de mes grands-parents que porte Davidson du Pont. Elle est simple, sobre et sans motifs.

 

Ton meilleur pote dans les courses hippiques ?
Je détacherais légèrement Tristan Ouvrie. Nous avons fait l’école primaire ensemble puis étions souvent à Grosbois. Il a une tête d’avance au passage du poteau (rires).

 

Clément Duvaldestin t’avait cité en meilleur ami. Une réponse ?
Il n’a pas de copain lui, c’est normal (rires). Plus sérieusement, c’est aussi quelqu’un que j’aime énormément et que j’aurais pu citer comme toute notre bande.

 

Les chevaux qui t’ont marqué lors du meeting d’hiver ?
Nous avions des chevaux comme Késaco Phedo à la maison. Après, un cheval comme Rapide Lebel m’a réellement marqué. Il allait à fond du départ à l’arrivée, gagnant avec une énorme marge. Après Quoumba de Guez restera dans ma tête car mon père a été victime d’un AVC à son sulky et est revenu en compétition avec cette jument en s’imposant à Enghien devant Commander Crowe. C’était particulier.

 

Ton cheval de coeur ?
J’aimais bien Envol The Best mais il y a eu aussi Fabago du Gers. Mon père me l’avait laissé à l’entraînement et j’ai dû me débrouiller avec lui. On en a gagné trois ensemble un hiver, je l’adorais. Evidemment, je suis obligé de retenir Davidson du Pont dans cette liste.

 

Reparlons de ce Prix d’Amérique – Legend Race avec Davidson du Pont. Un an après, que ressens-tu en revoyant les images ?
C’est quelque chose d’exceptionnel. Sur le coup, je n’ai rien compris à ce qu’il m’arrivait. Au poteau, je ne savais même pas si j’avais gagné, donc j’avais peur de lever le bras. Je regrette de ne peut-être pas avoir assez profité de ce moment-là car c’était irréel pour moi. J’étais presque le garçon habituel alors que c’était un jour spécial. Quelques mois après, tu regardes la course toutes les semaines, et tu te dis « c’est fait ». Cela récompensait aussi le travail de toute ma famille. J’étais fier de leur apporter ce succès.

 

Nous sommes à quelques jours de ce Prix d’Amérique – Legend Race. Comment tu analyses cette épreuve avec du recul ?
Je suis réserviste avec Zarenne Fas mais si je n’y suis pas, je vais supporter comme il se doit Hooker Berry. Il y a aussi Clément et Théo Duvaldestin avec Idao de Tillard et Flamme du Goutier. Si Hooker ne gagne pas, je serais très heureux que ce soit eux qui s’imposent. Ils ont l’opportunité de le faire.

 

Que peut-on te souhaiter pour l’année 2023 ?
La santé c’est bien le principal ! Il faut que l’écurie réalise une belle saison. Il faut suivre cette lancée avec un oeil attentif sur le Prix d’Amérique – Legend Race et Hooker Berry !