instrumentaliste

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La journée du samedi 24 décembre s’annonce exceptionnelle à l’Hippodrome Paris-Vincennes. Les Prix d’Amérique Races ZEturf Qualif #3 – Critérium Continental et Qualif #4 – Prix Tenor de Baune, deux Groupes I très convoités, promettent un superbe affrontement. Le vainqueur de chaque épreuve gagnera son billet pour les Finales de la Compétition Prix d’Amérique Races : Prix d’Amérique Legend Race, Prix de France Speed Race et Prix de Paris Marathon Race. Les listes des engagés font apparaître des noms prestigieux.

16 concurrents figurent parmi les engagés de la Qualif #3 – Critérium Continental. Citons Instrumentaliste (notre photo), lequel a remporté la dernière course préparatoire pour les mâles, le Sulky World Cup 5 Ans Qualif #1 – Prix Octave Douesnel. Cash Bank Bigi a gagné l’épreuve équivalente réservée aux femelles. Callmethebreeze a terminé cinquième de la Qualif #2 – Prix du Bourbonnais, avant d’être disqualifié après enquête. Idao de Tillard, Inoubliable, Inmarosa et Idéal du Pommeau seront également très en vue.

Consultez les engagés de la Qualif #3 – Critérium Continental

23 noms composent la liste des engagés de la Qualif #4 – Prix Ténor de Baune, dont le redouté Calgary Games, suédois invaincu en 10 sorties qui pourrait effectuer des débuts très attendus en France. Les bien connus Hohneck, Hip Hop Haufor et Heraut d’Armes seront probablement de la partie. Beads, Bleff Dipa, Happy Valley et Horsy Dream devraient aussi assurer le spectacle.

Consultez les engagés de la Qualif #4 – Prix Ténor de Baune

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Le Prix d’Amérique Races ZEturf Qualif #3 – Critérium Continental et Qualif #4 – Prix Tenor de Baune offriront à leurs vainqueurs un précieux sésame pour les Finales de la compétition Prix d’Amérique Races ZEturf. Découvrez la bande annonce en exclusivité.

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Le nouveau jeu Prix d’Amérique Races ZEturf Fantasy vous propose de remporter deux places pour le Prix d’Amérique Legend Race, le championnat du monde au Sulky, dimanche 29 janvier à l’Hippodrome Paris-Vincennes. Dès aujourd’hui et jusqu’à mardi, participez au quiz spécial qui a pour thème « les scandinaves dans le Prix d’Amérique Legend Race« . Répondez aux 10 questions le plus vite possible ! Les dix meilleurs scores gagneront le lot. Ensuite, vous pourrez à nouveau jouer au jeu classique en sélectionnant trois chevaux pour les deux courses du 24 décembre, le Prix d’Amérique Races ZEturf Qualif #3 – Critérium Continental et Qualif #4 – Prix Ténor de Baune. La session ouvrira mercredi 21 décembre. Rendez-vous dès maintenant sur fantasy.prixdameriqueraces.com ou sur l’appli disponible via l’App Store ou Google Play !

michel aladenise

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Article paru dans 24H au Trot – Retrouvez tous les numéros du quotidien en cliquant ici

Michel Aladenise (félicité sur notre photo par Jean-Michel Bazire) est l’éleveur et le propriétaire de Hooker Berry, vainqueur du Prix d’Amérique Races ZEturf Qualif #2 – Prix du Bourbonnais, dimanche 11 décembre à l’Hippodrome Paris-Vincennes. Voici son histoire.

Tout commence avec un ami et une rencontre. L’ami, c’est Philippe Joyeux, un passionné de courses. Il fait découvrir le trot à Michel Aladenise. C’est une rencontre coup de foudre. Elle a lieu chez l’ancien entraîneur du Centre-Est Joël Richart. « De voir le travail des chevaux en piste, cela m’a séduit« , s’ouvre Michel Aladenise. L’homme a 28 ans à l’époque et le virus du trot est inoculé. « C’était pour moi un truc extraordinaire. Je sentais que c’était une rencontre qui allait changer ma vie sans vraiment savoir pourquoi. »

Une première rencontre qui a changé la vie de Michel Aladenise
« On ne peut pas expliquer ce genre de chose, continue encore Michel Aladenise. J’étais déjà à la tête d’une concession dans l’automobile, tout allait bien. En fait, cela me rappelait le monde paysan dont je suis issu. Je savais aussi que je ne pourrais pas en vivre. Mon premier achat n’a rien fait, un autre ensuite a gagné mais à petit niveau. Quand on ne connaît rien, c’est compliqué. » Malgré son coup de foudre, Michel Aladenise n’a jamais cédé aux sirènes du sulky pour découvrir des sensations nouvelles. « J’aurais bien aimé mais j’avais des concessions à faire tourner avec du personnel à payer et je n’ai jamais voulu prendre ce risque. Jean-Michel (Bazire) m’a proposé il n’y a pas longtemps de monter sur un sulky mais, maintenant, il y a l’âge qui tourne. »
■ La première victoire de la casaque : Sire des Bertrands (Héros de Biziat), le 17 avril 1988 à Lyon-Parilly.
■ Les professionnels de ses débuts : Joël Richart, Loïc Lerenard
Petites victoires et petits plaisirs pour Michel Aladenise à cette époque. « Mon rêve était d’avoir un compétiteur, un cheval qui court et gagne. Je voulais gagner, que ce soit à Lyon, Saint-Galmier ou ailleurs. Pas plus. Je n’étais pas dans l’esprit de vouloir gagner à Vincennes ou de participer au Prix d’Amérique Legend Race. »

Calinamalia, la première bonne jument
C’est Calinamalia (Quadrophénio) qui apportera les premiers grands bonheurs à Michel Aladenise. Il s’agit tout à la fois de sa première bonne jument et de son premier élève ! L’homme n’a pas perdu de temps. Sous l’entraînement de Loïc Lerenard, elle apporte 13 victoires à la casaque de Michel Aladenise de 1995 à 1998 dont une première victoire à Vincennes le 21 septembre 1997. Calinamalia conclut sa carrière avec 199.030 € de gains. Elle donnera un produit à l’élevage à Michel Aladenise Lorenzo Malia 1’18 (Tarass Boulba). Et sera aussi à l’origine d’un moment de doute. Morte au haras après son premier produit, « sa disparition a été un coup de bambou qui m’est tombé dessus. J’ai alors hésité à arrêter. Et je me souviens encore de mon père qui m’a dit « N’arrête pas ». J’avais besoin d’entendre ces mots et ils résonnent encore dans ma tête. Mon père m’a aidé pendant mes travaux et me soutenait mais n’avait jamais eu de chevaux à lui. Cet encouragement a été déterminant à ce moment de doute« .

Un accélérateur nommé Mich Phili
Les relations avec Philippe Joyeux font leur réapparition en 2000 dans la grande traversée hippique de Michel Aladenise. « J’avais une saillie de Podosis et lui une jument. On s’est mis ensemble et cela nous a donné Mich Phili. » Le poulain est bon, très bon même au point de devenir vainqueur semi-classique au monté à l’âge de 3 ans (le Prix Pierre Gamare), sous l’entraînement et la monte de Jean-Michel Bazire. Nous sommes alors en 2003. Mich Phili changera d’entraîneur par la suite puis deviendra étalon. « Un cheval comme Mich Phili, ça été le bonheur. À l’époque, je n’avais pas le temps d’aller sur les hippodromes et Jean-Michel Bazire ne me connaissait pas vraiment. Je regardais les courses en achetant les cassettes video ! Ensuite, Philippe (Joyeux) a changé le cheval d’entraîneur mais je me suis dit : « Il faut que je reste chez Jean-Mi ; ce mec est monstrueux. » Un jour, je l’ai appelé pour lui proposer un cheval et il a accepté. C’est parti comme cela. »

Que des bons moments avec Jean-Michel Bazire
Aujourd’hui, les Berry sont inextricablement liés à Jean-Michel Bazire. « Je dirais que je n’ai eu que des bons moments avec Jean-Mi (Jean-Michel Bazire). C’est un mec formidable. Il m’a tout apporté. C’est grâce à lui que j’ai pu monter mon élevage. Quand on se voit, c’est souvent festif. » En juillet, lors du Festival du Trot du Centre-Est, Michel Aladenise n’hésitera pas à venir plusieurs fois à Vichy sans y avoir de partant mais pour partager du bon temps avec Jean-Michel Bazire et son entourage. Il faut pourtant compter deux petites heures de trajet (aller) pour rejoindre Vichy, avec un retour tard dans la nuit après une réunion en nocturne prolongée d’un dîner toujours festif donc. Côté courses, la production de Michel Aladenise a monté en nombre et gamme ces dernières années. De fil en aiguille, d’un ou deux produits par an, l’éleveur envoie désormais quatre poulains (et pouliches) chaque année à Jean-Michel Bazire. « J’emmène ce que je choisis. J’ai carte blanche. Mon rôle est évidemment de lui donner ce que j’ai de mieux à mon sens. »

L’histoire d’une fidélité à sa jeunesse et au terroir du Berry
« J’ai été élevé dans les vaches » explique Michel Aladenise au détour de nos échanges. Précisons pour les puristes, on parle ici de vaches charollaises, ces icones de la production de viande. « Quand on est issu d’un milieu paysan, tout s’apprend dans l’approche avec les animaux, y compris les chevaux. Moi mes racines sont paysannes. J’ai grandi en ferme à quelques kilomètres d’ici. Quand j’ai pu acheter du terrain et que j’ai trouvé cet endroit que j’ai agrandi ensuite par d’autres achats, j’ai foncé. Aujourd’hui, je ne voudrais pour rien au monde changer de vie. » Pas question donc de farniente sur le pont d’un yacht en méditerranée, de pêche au gros ou de soirées dans les endroits « hypes » pour Michel Aladenise. Lors de notre rencontre, l’homme était, dès huit heures le matin, sur sa tondeuse, affairé à l’entretien de ses pelouses. Son domaine a un nom prédestiné. L’homme vit à Gros Bois, sur la commune de Vicq-Exemplet, dans la zone d’influence de La Châtre, située à une grosse vingtaine de kilomètres de Châteauroux. Le domaine fait une trentaine d’hectares d’un seul morceau soigneusement aménagé en site d’élevage. Tout a été imaginé, conçu et fabriqué par Michel Aladenise. Des découpes de paddocks aux abris pour chevaux en passant par les nourrisseurs.

Le dessous des cartes de la filiation Booster – Hooker
Michel Aladenise confie ses juments en Normandie au Haras d’Ecouché de Marie Tourainne et Nicolas Menand. Sur la proposition de la première, il met une jument à Booster Winner (Love You), un étalon qu’il apprécie, lors de sa première année de production (les « G »). « J’aime bien cet étalon d’autant plus que mes juments croisent bien avec Love You« , nous apprend l’éleveur. L’année suivante, les propriétaires de Booster lui proposent une saillie gratuite à condition de présenter une jument de première catégorie. « On ne m’avait jamais fait un cadeau pareil ! Je ne pouvais pas refuser, je leur ai proposé de mettre Osaka Berry, une fille de ma jument souche Idée du Corta, qui avait déjà commencé à bien reproduire. » Avec comme premiers produits Darling Berry (Prince Gédé – 304.140 € de gains) et Eliska Berry (Rocklyn – 290.125 €) et Falco Berry (Scipion du Goutier – 264.010 €), la poulinière a réussi un début de carrière au haras sur les chapeaux de roues. Avec Booster Winner, elle créera son chef d’œuvre Hooker Berry (902.520 € de gains).

La fondation avec Idée du Corta
Michel Aladenise a appris sur le tard, en autodidacte, mais a vite maîtrisé les fondamentaux de l’élevage. Sa jument base est Idée du Corta (Battling Joe) élevée dans le Cher voisin par la famille Morand. La jument n’a pas été qualifiée mais a séduit l’éleveur par son papier. « Ce qui me plaisait chez Idée du Corta, c’est qu’elle véhiculait le sang de Speedy Crown comme fille de Battling Joe. Ce dernier n’avait pas vraiment bonne réputation mais était l’un des deux fils de Speedy Crown à exercer en France, l’autre étant Workaholic. Or, on sait toute l’importance qu’a eue l’ouverture du stud-book français aux grands étalons américains dans les années 1980 et 1990 et c’est vraiment pour cela que j’ai acheté Idée qui n’était pas une très jument grande. Sa production est pleine de sang mais gentille. Une fois qu’ils ont compris, tout roule. Regardez quel amour de cheval est Hooker Berry. »

Quokine Berry, le premier étage de la fusée
Même si Michel Aladenise a vite connu des succès avec les premiers produits d’Idée du Corta, soit Osaka Berry (Caballio In Blue – 263.740 €), la future mère d’Hooker Berry, et Paolo Berry (Camélia du Donjon – 208.090 €), c’est la suivante, Quokine Berry (Chef du Châtelet – 890.580 €) qui lancera vraiment l’élevage dans la sphère classique. « Quokine a été un déclic. Avant elle, les chevaux ne pouvaient pas nourrir quelqu’un par exemple en lui procurant des revenus. Pour moi, ce n’était que la passion qui comptait. Avec Quokine, et ses victoires classiques et semi-classiques, cela a changé. Ensuite Tequila Berry a pris aussi pas mal d’argent puis Dayana Berry, Darling. À mes débuts, je cherchais à faire des compétiteurs et j’ai eu des vainqueurs parisiens ! Pendant longtemps, je n’ai eu que quatre ou cinq juments. Des gens me demandent des recettes mais je n’en ai pas. L’élevage réclame beaucoup d’humilité et de mettre en pratique ce qu’on a envie de faire. Pour ma part, il y a, je pense, des choses à ne pas faire, comme la consanguinité très rapprochée. J’ai étudié les lois de Mendel (le « père » de la génétique) à l’école et la génétique m’intéressait déjà beaucoup. Il m’en reste cette conviction que les croisements consanguins trop rapprochés sont contreproductifs. »

La possibilité d’une relève
Les deux enfants de Michel Aladenise, Mikaël (43 ans) et Sophie (33 ans), ont une vie professionnelle bien remplie. « Pendant longtemps, ils ne se sont pas intéressés aux courses, nous apprend l’éleveur. Ce n’est plus vrai aujourd’hui et sans doute que la belle histoire que l’on vit avec Hooker Berry y est pour quelque chose. Je suis content. Ils commencent vraiment à s’y impliquer et c’est d’ailleurs Sophie qui est la gérante de l’Elevage des Berry. Il reste que je suis inquiet à l’idée qu’ils reprennent la suite de mon élevage. Tout est contractualisé aujourd’hui. Il y a un nombre de données et déclarations administratives très important. Tout cela va compliquer la transmission même si cela va aussi dans le sens de notre époque. »

Savoir encourager l’élevage pour l’avenir des courses
Et l’avenir ? L’éleveur des Berry tire quelques sonnettes d’alarme. « Je suis pour le transport de sperme pour avoir plus de poulains à naître dans nos régions. De manière générale, il ne faut pas dégoûter les éleveurs passionnés. Comme vont les choses, on va avoir de moins en moins de partants. Or ce sont les joueurs qui nous font vivre. Comment générer du jeu sur des courses à huit partants ? »

Le bonheur est dans les prés
Tout est de son fait. Michel Aladenise a construit toutes ses infrastructures et nourrit au quotidien la vingtaine de chevaux du domaine qui s’étend sur une trentaine d’hectares. « J’élève sur des terres pauvres, c’est du sable. C’est pourquoi je nourris beaucoup avec du foin en permanence et des rations au quotidien. Je contrôle aussi mes terres pour ajuster mes compléments alimentaires. La nourriture est le nerf de la guerre. J’ai aussi une dizaine d’hectares séparés de mon site, à Châteaumeillant, avec de la bonne herbe« .

En bref – Michel Aladenise
■ ex professionnel de l’automobile avec deux concessions à Bourges et La Châtre (a vendu jusqu’à 600 voitures/an)
■ 128 victoires comme propriétaire depuis 2008 en France
■ 240 victoires comme éleveur depuis 1993 en France
■ Meilleurs représentants : Quokine Berry, Hooker Berry, Paolo Berry, Mich Phili, Dayana Berry, Falco Berry, Darling Berry, Houston Berry, Osaka Berry, Tequila Berry, Echo du Berry, Eliska Berry
■ 2 enfants : Mikaël (43 ans) et Sophie (33 ans)

Une vie à mille à l’heure
Avec Michel Aladenise, on a affaire un hyper actif. Pour faire plaisir à son père, il obtient un Brevet de Technicien Agricole à 18 ans mais décide immédiatement de passer les concours de la SNCF. « À l’époque, je me voyais mal rester à 18 ans avec mon père qui n’était pas propriétaire de ses terres. Il voulait me garder avec lui comme cela se faisait à l’époque mais je ne concevais pas de suite possible de mon côté. Je suis resté un an et demi à la SNCF comme conducteur de motrices diesel et électrique. C’est à l’époque où je faisais les championnats de France de judo. » Michel Aladenise est de ce point de vue un OVNI : « J’ai commencé le judo à 17 ans et était ceinture noire 3e dan à 19 ans. J’ai été dix fois champion du Cher, plusieurs fois en interrégions jusqu’à 32 ans. Cela m’a valu de faire mon service militaire dans les commandos parachutistes à Istres. » Et côté professionnel, après la brève parenthèse SNCF (« ce n’était pas fait pour moi, je voulais être dans le commerce« ), l’homme devient vendeur de voitures à 20 ans à Vierzon. Jusqu’à acheter sa première concession à 32 ans, à La Châtre, et une seconde à 37 ans, à Bourges. « J’ai toujours construit dans ma vie » commente encore Michel Aladenise. Le succès professionnel est au rendez-vous. Les affaires prospèrent mais exigent beaucoup. « J’ai arrêté à 51 ans et n’ai aucun regret. Je crois que j’aurais fait un burn-out. Il y avait un contact humain génial, j’ai passé des années fabuleuses avec une clientèle fidèle et un engagement total. C’était aussi une autre époque où l’on pouvait vendre ou livrer une voiture à 23 heures et finir à la table de nos clients. » Désormais, la vie de Michel Aladenise est celle d’un éleveur de trotteurs, à 100 %. « C’est stabilisant. Et puis les résultats sont là. C’est aussi un métier dans lequel on se projette .C’est un métier de rêve. »

hooker berry

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Le Prix d’Amérique Races ZEtur Qualif #2 – Prix du Bourbonnais a rendu son verdict dimanche 12 décembre à l’Hippodrome Paris-Vincennes. Quand et à quelle occasion va-t-on revoir en piste les principaux protagonistes de ce Groupe II ? Voici quelques éléments de réponse.

Ils vont disputer l’une des prochaines Qualifs, Qualif #4 – Prix Ténor de Baune

Beads, Hip Hop Haufor, Hussard du Landret et Hip Hop Haufor devraient affronter les seuls 5 ans dans la Qualif #4, samedi 24 décembre.

Ils vont s’aligner dans la Qualif #5 – Prix de Bougogne

Hooker Berry, le lauréat, sera revu le dimanche 1er janvier, puis dans la Qualif #6 – Prix de Belgique. Les projets sont similaires pour Decoloration, quatrième de la Qualif #2, qui aura toutefois davantage d’ambitions, dimanche 15 janvier. Flamme du Goutier appréciera le parcours de vitesse de la Qualif #5 et aura à coeur d’effacer sa disqualification de dimanche, à l’image d’Etonnant et Delia du Pommereux.

Ils attendront la Qualif #6 – Prix de Belgique

Vivid Wise As n’est pas engagé dans la Qualif #5 et pourrait être revu seulement le 15 janvier.

Ils seront revus dans d’autres courses

Zarenne Fas participera au Prix Jean Dumouch, Groupe III au programme dimanche 18 décembre.

hooker berry

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Le Prix d’Amérique Races ZEturf Qualilf#2-Prix du Bourbonnais a rendu son verdict dimanche sur la piste de l’Hippodrome Paris-Vincennes. On connaît donc le nom des trois nouveaux qualifiés pour les Finales de la compétition Prix d’Amérique Races ZEturf, à savoir Hooker Berry, Hussard du Landret et Etonnant.

Qualifié (1er) : Hooker Berry
Déjà remarqué par sa fin de course dans le Prix d’Amérique Races ZEturf Qualif#1 – Prix de Bretagne, où il avait réalisé les derniers deux cents mètres les plus rapides, Hooker Berry a encore fait jouer ses grandes qualités de sprinteur pour remporter cette deuxième épreuve qualificative. Ce brillant succès, le septième de sa carrière dans une épreuve labellisée Groupe II, lui permet d’assurer sa présence sur la ligne de départ du Prix d’Amérique Legend Race, du Prix de France Speed Race et du Prix de Paris Marathon Race. Le cheval élevé et propriété du Berrichon Michel Aladenise fait en effet partie des meilleurs éléments de sa génération depuis les premières épreuves de sélection comme en témoigne sa troisième place dans le Prix Pierre Comte de Montesson-Critérium des Jeunes au mois de février de ses 3 ans. À son palmarès ne manque plus qu’une victoire dans un Groupe I, lui qui compte cinq podiums à ce niveau.

Qualifié (2ème) : Hussard du Landret
Le vainqueur du Critérium des 5 Ans (Groupe I) tient sa qualification pour les Finales Prix d’Amérique Races grâce à cette deuxième place dimanche derrière Hooker Berry, un autre 5 ans, trois semaines après le succès de leur contemporain Hip Hop Haufor dans la première qualificative. Une qualification que Benoît Robin, son entraîneur, pensait déjà avoir décrochée lors de la première épreuve qualificative avant que son cheval ne soit rétrogradé de la deuxième à la cinquième place pour avoir été jugé responsable de la faute d’un adversaire par un changement de ligne. Au-delà de ce contretemps, et à l’image de Hooker Berry, Hussard du Landret, cheval élevé en Bretagne par Jean Daniel, évolue depuis plusieurs mois parmi l’élite de sa génération et ses performances dans les Qualifs #1 et #2 assoient sa position parmi les actuels tout meilleurs trotteurs de Vincennes.

Qualifié (3ème) : Etonnant
L’une des stars du trot français a réalisé une remarquable saison 2022. Si celle-ci n’a pas débuté comme escompté avec une très forte déception dans le Prix d’Amérique Legend Race, le champion de Richard Westerink, élevé dans le Gers par Guy Vigier, a enchaîné les succès dans les grands temps forts de la saison, dans le Critérium de Vitesse de la Côte d’Azur à Cagnes-sur-Mer, l’Elitloppet en Suède, que son père, Timoko, avait gagné deux fois, le Grand Prix de Wallonie en Belgique et le Prix d’Été à Vincennes. Après une expédition inaboutie de l’autre côté de l’Atlantique, Etonnant était de retour ce dimanche à Vincennes dans la Qualif #2 dont il était le tenant du titre, lui qui, un an plus tôt, avait été le premier à dominer Face Time Bourbon sur les longues distances à Vincennes. Dominé par les 5 ans Hooker Berry et Hussard du Landret dans la phase finale après avoir mené, Etonnant n’a nullement démérité pour son entrée dans la course au Prix d’Amérique Legend Race 2023, plus que jamais son objectif.

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Résultat très serré après la Qualif #2 – Prix du Bourbonnais sur le jeu Prix d’Amérique Races ZEturf Fantasy. Le tirage au sort a été nécessaire pour désigner le vainqueur. C’est Allez Fredoooo qui a obtenu la première place.

Les joueurs Allez Fredoooo et Bernie80 avaient exactement les mêmes choix de chevaux et de cartes bonus sur le Prix d’Amérique Races ZEturf Qualif #2 – Prix du Bourbonnais. Ils ont marqué tous deux 185 200 points et ce cas de figure prévu par le règlement a imposé un recours au tirage au sort. Allez Fredoooo a été déclaré lauréat. Le troisième et le quatrième au classement ont aussi obtenu le même nombre de points : 170 800. Mais Mesmin a placé Hooker Berry, gagnant de la course, deuxième sur sa grille, et son rival l’a positionné troisième. Cela a donné l’avantage à Mesmin pour la troisième place. Allez Fredoooo va recevoir un bonus ZEturf d’une valeur de 50 euros, Bernie80 un bonus de 35 euros, et Mesmin un bonus de 20 euros. Au total, les 15 premiers remporteront un lot.

Après deux courses, l’écurie Clamax occupe la tête au classement général avec 339 800 points. Timewilltell est deuxième avec 329 200 points et Allez Fredoooo et Bernie80 troisièmes ex aequo avec 328 400 points. Si vous ne l’avez pas encore fait, vous pouvez toujours rejoindre l’aventure Prix d’Amérique Races ZEturf Fantasy en vous inscrivant gratuitement sur fantasy.prixdameriqueraces.com ou sur l’appli disponible via l’App Store et Google Play. Les deux prochaines courses ouvertes au jeu, la Qualif #3 – Critérium Continental et la Qualif #4 – Prix Ténor de Baune, se dérouleront samedi 24 décembre. Vous pourrez effectuer votre sélection de trois chevaux dès le mercredi 21 décembre en fin de journée.

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Emotions, rebondissements et belles performances ont fait du Prix d’Amérique Races ZEturf Qualif #2 – Prix du Bourbonnais 2022 un très grand cru, dimanche 11 décembre à l’Hippodrome Paris-Vincennes. Hooker Berry a triomphé facilement devant Hussard du Landret et Etonnant. Tous trois obtiennent leur passeport pour les Finales de la compétition Prix d’Amérique Races ZEturf.

15 protagonistes talentueux ont offert une éblouissante bataille dans le Prix d’Amérique Races ZEturf Qualif #2 – Prix du Bourbonnais. Le premier coup de théâtre a eu lieu peu après le départ quand Flamme du Goutier, jument très en vue, a subi les rigueurs de la disqualification. Pendant ce temps, Etonnant et Vivid Wise As, les deux favoris et les deux plus riches du peloton, se portaient en tête de l’épreuve et menaient à vive allure. Etonnant prenait seul le commandement peu après le passage devant les tribunes. Hooker Berry pistait les deux favoris à la corde, sans les lâcher d’un sabot. Le 5 ans a porté son attaque dans l’ultime virage pour signer un magnifique succès. Hussard du Landret s’emparait de l’accessit d’honneur devant Etonnant, courageux, Décoloration, qui a échoué d’un rien pour la troisième place, et Delia du Pommereux. La déception est venue de Vivid Wise As, qui n’a pu faire mieux que huitième après avoir occupé les avant-postes.

Hooker Berry, Hussard du Landret et Etonnant ont décroché leur qualification pour les Finales de la compétition Prix d’Amérique Races ZEturf : Prix d’Amérique Legend Race, Prix de France Speed Race et Prix de Paris Marathon Race. Le lauréat est entraîné par l’incontournable Jean-Michel Bazire. Son fils Nicolas, gagnant du dernier Prix d’Amérique Legend Race avec Davidson du Pont, le drivait. Le jeune homme a livré ses impressions au micro d’Equidia : « Hooker Berry est un petit cheval incroyable, il évolue au plus haut niveau depuis qu’il a 2 ans et il répond encore présent. Il s’est montré parfait aujourd’hui. Nous sommes bien partis, puis avons bénéficié d’un excellent parcours. Cette victoire me fait très plaisir, d’autant que j’ai connu une période compliquée à la fin de l’été. J’ai peut-être trouvé mon partenaire pour le prochain Prix d’Amérique Legend Race, mais c’est son entraîneur, mon père, qui décidera ». Le prochain épisode des Prix d’Amérique Races ZEturf sera double : la Qualif #3 – Critérium Continental et la Qualif #4 – Prix Ténor de Baune tiendront toutes deux les passionnés en haleine samedi 24 décembre.

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Hooker Berry et Hussard du Landret ont terminé respectivement premier et deuxième du Prix d’Amérique Races ZEturf Qualif #2 – Prix du Bourbonnais, dimanche 11 décembre à l’Hippodrome Paris-Vincennes. Nicolas Bazire et Benoît Robin, leurs drivers, analysent ce Groupe II avec François Avon aux manettes dans « Le Debrief ». Regardez la vidéo en cliquant ici.